Le surfeur de 38 ans, qui a souffert, au cours de sa riche carrière, de quelques « wipeout » dans des grosse vagues, vient de subir une intervention chirurgicale qui s’est « bien passée ».
Sur les réseaux sociaux, le Spartan explique subir des douleurs depuis une dizaine d’années. « En 2014, j’ai eu un très mauvais wipeout à Teahupoo qui m’a cassé une vertèbre, rappelle-t-il. Depuis, j’avais du mal à surfer ou à m’entraîner ». Une douleur qui va et vient, donc, depuis un longtemps, notamment après les « entrainements intensifs ». « J’ai eu quelques autres wipeouts au cours des 10 dernières années qui ont aggravé la situation », ajoute celui qui a tourné la page d’une carrière exemplaire en tout début d’année.
Depuis quelques mois, Michel Bourez pouvait « à peine surfer », souffrant notamment en « position de pagaie », même s’il a récemment participé au Rautirare festival. « Je viens de me faire poser un nouveau disque et l’opération s’est bien passée, rassure-t-il. Je peux enfin m’allonger sur mon lit comme une personne normale sans ressentir de douleur. Maintenant, il est temps de se reposer ! ». Michel Bourez, un des surfeurs polynésiens et français les plus titrés de l’histoire, devrait quoiqu’il arrive participer, le 13 juin prochain, au relais de la flamme en Polynésie.