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Un avocat tahitien à la cour pénale internationale

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Avocat au barreau de Papeete, Me Arcus Usang vient d’être admis sur la liste des 595 avocats, au monde, habilités à plaider devant la cour pénale internationale de La Haye. C’est la première fois qu’un avocat tahitien entre sur la liste spéciale de la juridiction internationale jugeant les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.

A 47 ans, Me Arcus Usang vient de concrétiser une véritable passion datant de ses premières années de barreau. L’avocat polynésien vient d’être admis sur la liste spéciale des 595 avocats habilités à plaider devant la cour pénale internationale (CPI) de La Haye. Une juridiction internationale régie par le statut de Rome et compétente pour juger des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. Après un an et demi d’instruction de son dossier, basé sur 18 ans d’expérience de la cour d’assises de Papeete et des compétences en droit pénal international en anglais et en français, la commission de la CPI a décidé d’inscrire Me Arcus Usang sur la liste des avocats de permanence de la juridiction. Ce qui signifie que son profil sera proposé aux victimes de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité pour assurer leur défense.

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Pour Me Usang, c’est principalement la défense des victimes qui a motivé cette décision de s’inscrire à la CPI.

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Détail notable, Me Arcus Usang est le tout premier avocat tahitien habilité à plaider devant la Cour pénale internationale.

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1 Commentaire

  1. pommerose
    4 mars 2016 à 8h02 — Répondre

    Avant de défendre les victimes contre les crimes de guerre/ humanité sur le plan internationale, défend d’abord les victimes du territoire contre les mafieux de Tahiti/ les charlatans/ habitués des tribunaux qui détruisent la vie des petits gens, trop d’abus de ce genre !!!peut être au CPI il y aura « des conflits d’intérêts », une fois plaider….
    Mes respects tout de même, espérant que vous défendriez les victimes et non les riches criminels qui peut vous refiler des millions en poche, ce qui doit surement se faire ici en polynésie, vu parfois l’injustice…comme on dit  » la justice, ce n’est pas l’ordre ou le bien/mal, mais la justice c’est le pouvoir ». et les mafieux fortunés s’en sortent toujours, mais n’oublions pas qu’il y a une justice universelle et divine.

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