ACTUS LOCALESCULTUREÉCONOMIEPACIFIQUESOCIALSOCIÉTÉ Un petit coup de jeune pour les couronnes de fleurs Wallis Gleize 2021-06-27 27 Juin 2021 Wallis Gleize À seulement 23 ans, et malgré la crise, Tinaia Lucas a lancé son entreprise. Lei Po’o Tahiti, qui a su se faire connaître en quelques mois sur les réseaux sociaux, propose des couronnes de fleurs, mais aussi de la décoration pour les événements. La jeune femme rêve aujourd’hui d’ouvrir sa propre boutique. C’est suite à la perte de son emploi chez un fleuriste en raison de la crise que la jeune femme a décidé de voler de ses propres ailes. « J’étais employé dans chez un fleuriste, puis la crise de la Covid est passée par là. Je me suis dis que c’était le moment pour moi de me lancer et de créer ma propre entreprise », explique Tinaia, qui depuis petite rêvait déjà d’être fleuriste. Un rêve devenu réalité : en janvier dernier, elle a créé sa propre entreprise. Lei Po’o Tahiti, propose désormais des couronnes de fleurs, des éléments de décoration pour des événements comme les mariages. « Malgré la crise, les gens continuent à acheter des fleurs surtout pour les événements comme la fête des mères, la Saint-Valentin ou les anniversaires », explique l’entrepreneure. https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2021/06/SON-1-FLEURS.mp3 Pour la réalisation de ses couronnes, la jeune femme utilise principalement des fleurs du fenua. « Tous mes fournisseurs sont ici, mon plus gros fournisseur vient de Taravao (…) Travailler avec des producteurs locaux est un vrai plus par rapport à certains de mes concurrents », indique l’entrepreneuse. « Les réseaux sociaux contribuent au succès de mon entreprise » C’est grâce aux réseaux sociaux que la jeune femme de 23 ans parvient à exercer l’essentiel de son activité. « Les réseaux sociaux occupent une place primordiale pour ma communication. Cela me permet de montrer mon travail et d’interagir avec mes abonnés ». https://www.radio1.pf/cms/wp-content/uploads/2021/06/2-SON-FLEURS-1.mp3 Aujourd’hui Tinaia veut poursuivre son rêve et a pour ambition d’ouvrir sa boutique. « Ma boutique idéal, c’est un compromis du style polynésien et du style anglais (…) J’essaie de mettre un peu d’argent de côté afin d’y parvenir. » Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)