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Vainoa ne souhaite pas marcher sur les plates bandes de la concurrence » pour ne pas rentrer dans le casse tête du réseau de distribution locale » justifie Erwan Mallegoll, consultant et porteur du projet pour le compte des propriétaires de la marque, la famille Laine.
Exit donc la Polynésie et cap vers l’Asie, et le Japon notamment.
Alors pourquoi le choix de l’export vers le marché nippon? La réponse d’Erwan Mallegoll interrogé par Samia Stambouli.
Côté chiffre, la marque compte embouteiller 4 500 bouteilles par heure, soit 1 million de bouteilles par mois qui sortiraient des chaines de l’usine. Concernant les recrutements, l’entreprise prévoit l’embauche au minimum d’une quinzaine de personnes.