ACTUS LOCALESPOLITIQUE UPLD et Tahoeraa unis pour la reconnaissance des langues polynésiennes à l’Assemblée Cédric VALAX 2013-06-20 20 Juin 2013 Cédric VALAX Assemblée de Polynésie © Cédric VALAX Indépendantistes comme autonomistes regrettent la décision du Conseil d’État d’annuler, la semaine dernière, deux lois de Pays relative à la réforme des retraites sous prétexte que les débats aient été menés en tahitien. L’UPLD s’insurge et le Tahoeraa demande une modification de la constitution. Pour le Conseil d’État, la langue officielle est le français, comme le précise l’article 57 de la loi organique. Il n’en fallait pas plus pour annuler ces lois du Pays. Annulations qui selon le président du Conseil d’administration de la CPS, engendreront un déficit d’environ 4 milliards Fcfp de la caisse. Dans le camp Tahoeraa comme dans le camp UPLD, c’est l’incompréhension. Écoutez les précisions d’Antony Géros, président du groupe UPLD à l’Assemblée. Ce jeudi, lors de la séance à l’Assemblée, le président de l’institution, Édouard Fritch, a communiqué aux représentants son intention de proposer rapidement une résolution demandant la modification de l’article 74 de la Constitution et la loi organique statutaire afin de voir reconnaître l’usage des langues polynésiennes à l’Assemblée aux côté du français. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)