ACTUS LOCALESÉCONOMIE Vanille: « il faut repenser le développement de la filière » Samia Stambouli 2014-08-27 27 Août 2014 Samia Stambouli ©DR Vanille: « il faut repenser le développement de la filière » DR La « vanilla tahitensis » est considérée comme un produit haut de gamme par les professionnels, de part sa brillance, sa souplesse et son arôme. Mais, selon les chiffres de l’ISPF, datant du 7 juin dernier, le volume des exportations locales a diminué de près de 53% sur un an. Guy Tauatiti, producteur de vanille, cultive, depuis 10 ans, 8000 mètres carré sous ombrière à Raiatea. En quatre année de participation au Salon international de l’agriculture il a été récompensé par 3 médailles d’argent et une d’or. Pour lui, la vanille pourrait devenir une des ressources principales de la Polynésie, à condition que le pays mette en place certains dispositifs. Afin que tous profitent de cette manne qu’est « l’or noir », Guy Tauatiti aimerait fédérer les professionnels qui gravitent autour de ce secteur d’activité. Il propose donc la mise en place d’une coopérative. Elle permettra d’échanger et mettre à profit l’expérience de tout un chacun afin d’améliorer la production de la vanille. Le plus difficile selon Guy Tauatiti c’est le démarrage de cette activité. Il faut attendre entre 3 et 4 ans pour pouvoir récolter les premières gousses. Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)