Dans le cadre de la réforme du secteur de la perliculture, le ministre chargé de l’Economie bleue, Teva Rohfritsch, a proposé la mise en place de quotas de production pour les perliculteurs.

Le président de la Polynésie française, Edouard Fritch, le ministre chargé de l’Economie bleue, Teva Rohfritsch, et le président de la Commission des ressources marines à l’assemblée, Charles Fong Loi, ont rencontré, jeudi, les organisations professionnelles représentatives du secteur de la perliculture pour leur exposer le contenu du projet de Loi du Pays relatif à la production des produits perliers en Polynésie française. Les professionnels sont unanimes pour reconnaître que la qualité des perles de culture de Tahiti doit être le critère prioritaire pour valoriser ce produit, tant sur le marché local qu’à l’international. L’objectif principal est de trouver les moyens de revaloriser l’image et de remonter le cours moyen de la perle de culture de Tahiti avec notamment, la création d’un quota de production globale qui sera proposé par le Conseil de la perliculture, puis ramené au niveau individuel, sur la base notamment de normes environnementales et sanitaires, de bonnes pratiques de production et de commercialisation et de respect de la réglementation. Les travaux se poursuivront la semaine prochaine.