A Paris, le ministre des Outre-Mer a présenté ce mercredi en conseil des ministres une communication relative à la politique de lutte contre la vie chère dans les outre-mer. Il indique que « Le dispositif actuel présente la faiblesse de reposer presqu’entièrement sur des dispositifs d’encadrement des prix.
La réforme proposée vise à agir sur la chaîne de formation des prix et non plus seulement sur son résultat final. » Dans un communiqué, le sénateur Richard Tuheiava se félicite de cette communication. Il indique, je cite, que «la régulation des prix en aval n’a jamais été une solution durable.
Il est impératif d’opérer une régulation en amont, c’est-à-dire sur les marchés de gros et la chaîne logistique, dans tous les secteurs d’activité et d’industrie». Il poursuit «pour la Polynésie française en particulier, cette régulation pourrait par exemple inclure le prix du baril de pétrole en amont, ou encore le prix de l’électricité au kilowatt-heure…»