Une centaine de participants prendront le départ de la tranStahitienne qui sera donné à Mataiea ce samedi à 9h45 pour une arrivée prévue à Papenoo. Cette septième édition organisée par l’association VSOP Tahiti se courra sous le label Xterra,  géant américain des courses hors-sentiers.  Et le choix de notre destination n’est pas dû au hasard…

Les Etats-Unis, la Malaisie, La Réunion, le Brésil ou encore le Japon…toutes ces pays accueillent des étapes Xterra, organisateur reconnu de cross-triathlon. Théâtre de ces épreuves de triathlons d’un nouveau genre : « une nature sauvage » aux panoramas à couper le souffle. Tahiti fait désormais partie du calendrier officiel de cette discipline en vogue depuis quelques années.  Cette épreuve tahitienne comptera d’ailleurs pour les qualifications au XTerra World Championship qui se déroulera le 1^er novembre sur l’île de Maui à Hawaii. Un choix calculé de la part de Xterra, puisque ces deux courses de la région Pacifique sont pour le moins similaires. C’est ce que nous explique Nicolas Lebrun, ancien champion de triathlon et conseiller technique Xterra.

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Si Nicolas Lebrun découvrira la richesse des vallées tahitiennes pour la première fois, Tony Moulai, lui, revient au fenua pour la troisième fois. Vice-champion d’Europe et triathlète français renommé, la TranStahitienne, aujourd’hui baptisée Xterra Tahiti, il ne s’en lasse pas. Une course « difficile et technique »

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En intégrant le calendrier Xterra, la course prend une dimension internationale. Et pourtant le nombre de participants étrangers ne s’en ressent pas beaucoup, puisque seule une douzaine d’internationaux y participeront, ce que déplore Jean-Michel Monot du VSOP Tahiti, club organisateur. Malgré tout il se veut confiant. « L’année prochaine, ils auront le temps de s’organiser et nous aurons davantage d’étrangers avec une communication réalisée en amont » explique-t-il. Avec pour parrain Mark Allen, grand triathlète américain six fois champion du monde de la discipline, il y a fort à parier que l’événement prendra de l’ampleur l’an prochain.